Mon travail se concentre sur le dessin et essentiellement en gravure au burin sur cuivre. Point d'acide pour graver la plaque de cuivre, seulement un petit outil appelé « burin » avec lequel on incise la plaque ligne après ligne.
C'est au cours d'un stage de deux ans en France auprès du grand buriniste Marc Dautry que j'ai pu apprendre à maîtriser cette technique ancienne mais qui ne trouve que peu d'adeptes de nos jours. J'ai d'abord copié des oeuvres de grands maîtres en guise d'apprentissage tels Dürer, Goltzius et Dautry.
La taille directe sur le cuivre, le trait d'une précision extrême m'ont enchantée dès le début. Le dessin n'étant formé que de lignes, c'est en variant la largeur et la profondeur en les gravant sur la plaque qu'on obtient les diverses tonalités du dessin. Les différents croisés créeront aussi une variété de textures et toutes les subtilités des gris optiques.
Depuis plus de trente ans maintenant, je perfectionne cette technique par laquelle je tends à faire évoluer mon écriture, traduire, par la sensibilité du trait et la variété de textures, la vie qui m'entoure.
C'est au cours d'un stage de deux ans en France auprès du grand buriniste Marc Dautry que j'ai pu apprendre à maîtriser cette technique ancienne mais qui ne trouve que peu d'adeptes de nos jours. J'ai d'abord copié des oeuvres de grands maîtres en guise d'apprentissage tels Dürer, Goltzius et Dautry.
La taille directe sur le cuivre, le trait d'une précision extrême m'ont enchantée dès le début. Le dessin n'étant formé que de lignes, c'est en variant la largeur et la profondeur en les gravant sur la plaque qu'on obtient les diverses tonalités du dessin. Les différents croisés créeront aussi une variété de textures et toutes les subtilités des gris optiques.
Depuis plus de trente ans maintenant, je perfectionne cette technique par laquelle je tends à faire évoluer mon écriture, traduire, par la sensibilité du trait et la variété de textures, la vie qui m'entoure.